De la nécessité et du droit de débattre, aussi sur le contournement nord de Wavre
Positionnement d'Epures
Mots-clés : Citoyen, Epures, Grez-Doiceau, Wavre
Le contournement Nord de Wavre va faire couler beaucoup d'encre, de salive avant peut être sa dose de béton s'il échet.
Ce dossier date de bien longtemps et ressort maintenant dans une période de transition et d’évolution des mentalités. Il ne peut pas s’étudier sous l’angle des dogmes, des tout pour et des tout contre. Il mérite un débat d’idées que le citoyen et le politique devraient mener de concert. Il faut de la transparence, de la réflexion.
Nous pouvons d’abord nous poser des questions de principe sur l’utilité de créer une nouvelle infrastructure.
Est-ce encore approprié ? Est-ce un investissement pour une problématique à long terme ? A qui va-t-elle profiter ? En terme de mobilité, de développement, d’urbanisation ? Qui va réellement en bénéficier ? Ou en pâtir ? Quelles en seront les conséquences ? En terme de perte de patrimoines naturels, paysagers, de qualité de vie pour certains ?
Ensuite, si d’aventure, la volonté politique est finalement bien là pour la construire, comment en seront gérées les conséquences ? Est-on certain de l’activation des budgets par exemple ? Laissera-t-on de côté certains aménagements ? La mariée peut être trop belle selon l’expression consacrée.
En effet, dans certains cas, certains projets inaboutis font pis que mieux. Et celui-ci, à notre échelle, est un projet ambitieux qui aura, qu’il se fasse complètement, à moitié ou pas du tout, des conséquences diverses sur la vie des gens et sur l’environnement. D’autant, qu’il s’agit peut-être ici d’ouvrir une boîte de Pandore qui aura des effets en cascades, peut-être positifs, mais peut-être négatifs.
En tous les cas, il serait bon d’entendre toutes les parties, qui peuvent être une source d’inspiration pour les autorités publiques. S’il y a enquête publique, (ce que nous supposons, c’est quand même un autre ouvrage qu’une véranda dans un lotissement les bannissant) ce sera l’occasion pour chacun de s’exprimer. Néanmoins et à cette date (29 décembre 2013), il n’est pas encore certain que cette enquête aura lieu, vu les avis contradictoires à ce sujet.
De manière générale, notre association fera preuve dans ce dossier du même souci d’information qu’elle en a eu pour d’autres, loin d’un discours politique, dogmatique. Elle veut mener une réflexion d’ensemble avec une vision à long terme. Elle tient également à permettre à chaque citoyen, élus compris, de se forger un avis sur une question complexe et à le mettre devant ses responsabilités.
Et comme l’écrivait récemment le porte-parole de notre association:
Ce dossier date de bien longtemps et ressort maintenant dans une période de transition et d’évolution des mentalités. Il ne peut pas s’étudier sous l’angle des dogmes, des tout pour et des tout contre. Il mérite un débat d’idées que le citoyen et le politique devraient mener de concert. Il faut de la transparence, de la réflexion.
Nous pouvons d’abord nous poser des questions de principe sur l’utilité de créer une nouvelle infrastructure.
Est-ce encore approprié ? Est-ce un investissement pour une problématique à long terme ? A qui va-t-elle profiter ? En terme de mobilité, de développement, d’urbanisation ? Qui va réellement en bénéficier ? Ou en pâtir ? Quelles en seront les conséquences ? En terme de perte de patrimoines naturels, paysagers, de qualité de vie pour certains ?
Ensuite, si d’aventure, la volonté politique est finalement bien là pour la construire, comment en seront gérées les conséquences ? Est-on certain de l’activation des budgets par exemple ? Laissera-t-on de côté certains aménagements ? La mariée peut être trop belle selon l’expression consacrée.
En effet, dans certains cas, certains projets inaboutis font pis que mieux. Et celui-ci, à notre échelle, est un projet ambitieux qui aura, qu’il se fasse complètement, à moitié ou pas du tout, des conséquences diverses sur la vie des gens et sur l’environnement. D’autant, qu’il s’agit peut-être ici d’ouvrir une boîte de Pandore qui aura des effets en cascades, peut-être positifs, mais peut-être négatifs.
En tous les cas, il serait bon d’entendre toutes les parties, qui peuvent être une source d’inspiration pour les autorités publiques. S’il y a enquête publique, (ce que nous supposons, c’est quand même un autre ouvrage qu’une véranda dans un lotissement les bannissant) ce sera l’occasion pour chacun de s’exprimer. Néanmoins et à cette date (29 décembre 2013), il n’est pas encore certain que cette enquête aura lieu, vu les avis contradictoires à ce sujet.
De manière générale, notre association fera preuve dans ce dossier du même souci d’information qu’elle en a eu pour d’autres, loin d’un discours politique, dogmatique. Elle veut mener une réflexion d’ensemble avec une vision à long terme. Elle tient également à permettre à chaque citoyen, élus compris, de se forger un avis sur une question complexe et à le mettre devant ses responsabilités.
Et comme l’écrivait récemment le porte-parole de notre association:
De manière générale, nous ne pouvons que sortir grandis, citoyens, élus, fonctionnaires en débattant des affaires publiques. En ces temps, où l’on constate à notre grand regret, que le citoyen se désintéresse de la vie de la cité, ouvrant éventuellement la voie (ou la voix) à des idées peu démocratiques, pouvoir dialoguer entre nous, avec nos idées, mais respectueusement est certainement bien indiqué.
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